" NOUS AVONS ELARGI NOTRE CATALOGUE AUX ROMANS "

Quel bilan faites vous de la participation de l'ONPS (Office national des publications scolaires) au Sila 2016 ?

Notre participation au 21e Salon International du Livre d’Alger fait suite à la récente édition des livres de la deuxième génération. Des livres scolaires de la première et deuxième année primaire et de la première année secondaire. Des manuels qui ont suscité l’intérêt des parents en raison du manque au niveau des établissements scolaires. Heureusement on a édité un nombre important et cela a suffit largement. En ce qui concerne l’influence du public, elle a été élevée

Qu'en est-il des ventes?

Globalement, les ventes de cette année ont été moyennes car tous les enfants scolarisés avaient déjà leurs manuels scolaires. Les parents d’élèves ont toutefois achetés des livres pour suivre leurs enfants à la maison. Et nos prix sont pareils à ceux des écoles.

L’ONPS édite aussi des livres en braille. Pouvez vous nous en parler ?

Livres de braille que nous éditons ont le même contenu que les manuels scolaires et concernent les trois paliers de l’éducation. Cette initiative nous a été demandée par le ministère de l’Education nationale, sachant que ça fait plus de 20 ans que L’ONPS édite des livres de braille. On a même édité le Saint Coran en braille. Pour cette année, nous avons élargi notre catalogue aux romans. Nous avons édité par exemple tels que «Le Fils du pauvre » de Mouloud Feraoun, « Rih Al Djanoub » d’Abdelhamid Benhedouga, en partenariat avec d’autres maisons d’édition.

Entretien réalisé par Sara Boualem

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